Un jour plus tôt est j’aurais cru à un poisson d’avril !!
Voila le truc, un répulsif sonore anti-jeunes.
Un émetteur de sons à très haute fréquence, qui a pour effet de faire fuir les jeunes de moins de 25 ans qui sont les seuls à les percevoir (après, en vieillissant, ces fréquences ne sont plus entendues), a été créé en Grande-Bretagne et commence à faire son apparition en France.
Dénommé « Mosquito » en Grande-Bretagne, ce répulsif sonore a été rebaptisé « Beethoven » par la société française (IBP France) qui le commercialise depuis un an. Cette mise en vente dans l’Hexagone, difficile à quantifier, a déjà déclenché une polémique en France et en Belgique. Car installé dans les halls d’immeuble, les parkings publics ou devant certains magasins, il vise uniquement à faire fuir les jeunes.
Ce boîtier produit en fait des sons ultra-aigus avec des fréquences très hautes, à 16.000 hertz, que seuls les moins de 25 ans peuvent entendre. Et très rapidement ne supportent plus. Le kit complet vaut environ 900 euros hors taxe. Il aurait suscité récemment l’intérêt de bailleurs sociaux mais aussi de municipalités en France, qui refusent cependant de communiquer sur le sujet.
« Après le spray anti-SDF, le boîtier anti-jeune vient allonger la liste honteuse des répulsifs destinés à exclure des catégories de la population de certains lieux », s’est indigné le Parti communiste français qui demande l’interdiction de ce dispositif.
En Belgique, la polémique porte aussi sur les conséquences sanitaires de ce Mosquito. Il y a peu, un adolescent de 14 ans a porté plainte près de Liège. Il avait l’habitude de prendre le bus devant une banque qui utilise cet émetteur ultra-son et s’est plaint de maux de tête.
Source : Europe1.fr
Non mais sans déconner… On fini de marcher sur la tête, non ??
A croire que tous les jeunes sont des parasites, sans parler des conséquence sur les touts petites !
Petite vidéo dans la suite du billet !
Ah ah tu ne connaissais pas encore le mosquito… ^^
mesgoutsmescouleurs.blogs…
Roh la marge de tarés qu’ils se font là dessus … C’est aberrant
(mis à part ça le procédé existe depuis longtemps, même sous forme de sonneries pour téléphone 🙂 )
Le Septuor de Beethoven, autrefois célèbre, n’est plus souvent programmé pour lui-même. Il réapparaît de temps en temps au concert quand des ensembles alliant cordes et vents veulent jouer du classique. Oubli injustifié?
En 1799, Beethoven approche de la trentaine. Il entend toujours bien et cultive de grandes ambitions artistiques. Il vit une profonde amitié avec Karl Amenda, d’une année son cadet, bon violoniste, protestant et futur pasteur. Il se remet d’une déception amoureuse: son amie d’enfance, la contralto Maria-Magdalena Willmann, l’a éconduit, le trouvant trop laid et à moitié fou, lui préférant le chanteur Galvani. Il fait, au printemps, la connaissance de la famille Brunsvick et donne des leçons à Thérèse, Franz et Joséphine, alors respectivement âgés de 24, 22 et 20 ans, qui compteront beaucoup dans sa vie. Pianiste reconnu, il semble pourtant ne donner aucun concert public et se consacre à la gestation de grandes oeuvres: les six premiers Quatuors en op. 18, la 1ere Symphonie op. 21 et… le Septuor op. 20 en Mib Majeur pour clarinette, basson, cor, violon, alto, violoncelle et contrebasse.